La démocratie courtoise

Réunion de conseil de juin 2009. Notre colistier Jean-François BROUSSE demande la parole à Monsieur le Maire et l’obtient… Il pose donc sa question concernant le poste de garde champêtre. Soudain, Monsieur le Maire l’interrompt brusquement, en haussement le ton. Jean-François l’invite à le laisser finir, mais Monsieur le Maire revient à la charge de plus belle en indiquant qu’il ne l’a pas autorisé à prendre la parole… Une censure en belle et due forme, sans courtoisie, et sans respect…

Quel exemple pour la jeunesse…

A travers ce manque de respect, il ne faut pas oublier que ce sont plus de 34 % des Golbéennes et Golbéens qui sont censurés…

Notre combat pour la démocratie de proximité continuera. Par exemple, nous renouvèlerons la création de comités de quartier, lieu de débats et de discussions, deux notions si absentes de la vie municipale de la cité. Prenons l’exemple des choix de noms de rue pour lesquels Monsieur le Maire fait fit de toute proposition et même toute consultation. C’est lui qui choisit ! Golbey a donc maintenant une rue Pavarotti… Très bien. En revanche, point de rue de la Liberté, de la Fraternité…