Les positions de Mieux Vivre à Golbey

Sur la gestion financière communale

Notre constat :

Très certainement le même que le votre … !

La ville de Golbey encaisse depuis de nombreuses années de l’argent afin de percevoir des intérêts bancaires toujours plus importants…voici l’objectif inavoué de monsieur le Maire : la « tête » de la commune depuis plus de trente années. La commune détient donc une réserve de plus de 10 millions d’euros. Nous constatons des excédents toujours plus conséquents… Le dernier rapport de la cour des comptes l’atteste formellement…

En parallèle, nous habitants nous payons des impôts, certes raisonnables, mais sans avoir le retour attendu suivant la hauteur de moyens disponibles… notamment au niveau de l'équipement des écoles, des aides sociales, de l'infrastructure des rues, des dactivités pour la jeunesse, de la police municipale, des moyens de communication, des moyens de transports, etc.…
Bref, à l’exception des constructions de logements sociaux effectués par les équipes techniques communales…

Nos propositions

Notre conviction est qu’une commune se gère, dans le principe, comme un foyer. Les rentrées d’argent doivent servir aux dépenses quotidiennes indispensables mais également à être investies pour le bien être de chacun des membres de la famille.  Bien évidement ne pas servir qu’à satisfaire l’ambition ou le seul désir du patriarche...nous sommes tous d’accord…et pourtant la gestion de Golbey illustre parfaitement cette situation de monopôle des décisions…

Mettre de l’argent de côté toute sa vie reste une vision très limitée d’un mode d'existence : réserver un confortable matelas à ses descendants… !

Pour une commune, les descendants, ce sont tous les habitants. Ne vaut-il donc pas mieux savoir investir et développer la vie de la commune pour que chacune et chacun s’y sentent bien, y trouvent les moyens de se développer et y restent…que de toujours se concentrer sur un avenir sans lendemain par faute d’initiatives?

Pour ce qui est de la dette, il ne faut pas confondre emprunt et dérive financière…

Effectivement, les américains sont des techniciens des dérives en tous genres…Nous partageons entièrement cette idée.

Mais l’emprunt n’est pas un vice, mais simplement un outil de gestion. En tant qu’individu, nous empruntons principalement pour nous loger, pour nous véhiculer, pour nous équiper… C’est un outil courant qui permet de se développer, d’évoluer avec son temps. C’est un outil sans danger si nous savons nous fixer nos limites pour rembourser et contracter.

La majorité en place préfère attendre 10 ans, afin d’avoir une somme importante avant d’investir. Seulement, pendant ces 10 ans, les besoins des habitants évoluent, et la commune ne peut pas répondre à leurs attentes. Voici une gestion de type passéiste et rétrograde …

Notre vision des choses est qu’il faut investir à l’instant T, lorsque les besoins sont là.

Effectivement, emprunter de la l’argent n’est pas une obligation, mais il s’agit là d’un moyen efficace de construire l’avenir tout en préservant le présent.

Voici pourquoi notre commune manque de dynamisme : les investissements ont toujours un train de retard… et surtout sont sans cohérence les uns les autres…

Enfin, comment ne pas penser au développement durable ? On doit penser à nos enfants et petits enfants. Le développement durable, ce n’est pas de l’écologie à tout prix.

Le développement durable repose sur 3 piliers : l’environnement, l’économie et le social.

Nos interventions lors des (quelques) réunions de commission et des séances de conseil municipal (de plus en plus espacées dans le temps), restent et resteront fondées sur un esprit de développement de ces trois piliers.

Sur le Droit d’expression

Notre constat

Nous membres de l’opposition nous avons parfaitement compris que nous se sommes ni écoutés et ni entendus. En séance de conseil municipal, nous devons, comme il se doit, nous exprimer pour faire connaître nos idées et nos opinions. Loin de la contestation intempestive et systématique. Pour preuve, il suffit de constater que nous votons positivement pour de nombreux dossiers.

Lorsque nous exprimons notre position, Monsieur le Maire s’empresse de rédiger un édito dans « le Golbey en Bref » pour nous expliquer, vous expliquer, que nous sommes irrespectueux, impertinents et insolents, limite malhonnêtes. Normal, nous osons manifester des avis différents des siens… liberté d’expression quand tu nous fais défaut…

D’ailleurs, « le Golbey en Bref », bulletin mensuel dans lequel notre droit d’expression, pourtant prévu par la loi, est bafoué. Nos textes sont systématiquement et entièrement censurés. Censure, voici un concept  républicain de monsieur le Maire…

Nos demandes, nos Droits, nos devoirs

Nous demandons simplement que nos droits soient respectés. Notre parole doit être entendue … et publiée. Si nous avons des devoirs vis-à-vis des électeurs qui nous ont donné leur confiance, alors nous avons des obligations vis-à-vis des électeurs qui vont nous rejoindre…

Sur ce point de la liberté d’expression, nous serons intransigeants…